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A tous ceux qui se sentent une âme d'écrivain, vous êtes les bienvenus !
Histoires vraies, fictions, tout est accepté !

Sommaire :

1/ Sur les balançoires
2/ Christine et ses pieds... presque nus
3/ Ravissants pieds nus et jolies ballerines
4/ L'assistante
5/ Lou baisée devant son mari


Sur les balançoires

Fiction par Pierre Bougie ©


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Il fait beau et très chaud alors que nous sortons du lycée. Vêtues de nos jupes à plis, blouses blanches, bas au genou blanc et chaussures à talons plats, Linda et moi nous dirigeons vers le parc. Loin de nous l'envie d'aller étudier, car l'air sec et chaud qui caresse notre peau nous incite beaucoup plus au jeu à l'extérieur.

Telle une petite fille malgré ses dix-huit ans, Linda se met à courir vers les balançoires et me crie de la rejoindre. Je ne peux que rire de son attitude et je la suis avec joie. Dès qu'elle est arrivée à l'ère de jeu, elle s'empresse de déposer ses bouquins et s'assied immédiatement sur la planche de bois, retenue par de longs câbles solides à une barre transversale en métal solide. Il y a comme celle-là, trois autres balançoires, toutes aussi invitantes les unes que les autres. Linda tire sur les câbles, tout en étendant les deux jambes vers l'avant, les pieds pointés. La tête et le dos cambrés par l'arrière, elle s'élance dans une série de va-et-vient qui la propulsent de plus en plus haut !

- Allez ! Essaie de me battre en hauteur, Lise...
- Attend voir !

Je dépose aussi mes livres et cahiers et m'assieds sur la planche immédiatement à côté de celle de Linda. Les élans se succèdent et je tire avec force sur les câbles, pliant les genoux puis étendant mes jambes le plus haut possible à chaque début de course vers l'avant. Je rejoins très vite le même mouvement que celui de Linda et nous rions de bon cœur dans cette compétition sans gagnante.

Puis on ralentit nos ardeurs, car l'effort nous fait tourner la tête. Nous balançant alors plus calmement, je relaxe mes muscles et ce faisant, mes chaussures glissent et mes talons deviennent exposés à l'air. Dans un effort pour ne pas échapper mes petits souliers vernis, j'écarte et je retrousse mes orteils le plus haut possible puis retiens de justesse mes deux souliers qui risquent de tomber à chaque fois que je redescends vers l'arrière...

- Linda, je vais échapper mes chaussures... !
- Comment ?
- Regarde, je suis en train de perdre mes souliers !
- Quelle bonne idée !

Linda cambre ses deux pieds alors qu'elle redescend dans sa course et je vois ses talons charnus et tout ronds glisser hors de leur prison de cuir. Puis, tout en se donnant un nouveau grand élan, elle pointe gracieusement ses membres délicats vers le ciel. À l'apogée de sa course, ses deux ballerines vernis sont propulsées hors de ses pieds et prennent un envol dans le vide, virevoltant maintes fois sur eux-mêmes, avant de finalement atterrir sur la pelouse verdoyante!

- Hé, Lise ! Essaie de lancer les tiens plus loin !
- Je n'ose pas.
- Allez, quoi !
- Bon. J'y vais...

Par esprit de compétition, je veux bien essayer de battre la distance. Alors je me redonne une série d'élans dans l'espoir d'aller encore plus haut que Linda. Tout au long de cette accélération, je dois tenter de remettre mes chaussures, m'aidant de l'autre pied pour repousser le talon à l'intérieur de chacune. Mais cela n'est pas si simple car je porte des chaussettes de nylon, d'un blanc opaque. Ces bas sont très soyeux et mes pieds glissent facilement hors de mes souliers, ce que j'adore. Car durant les longues journées assise à mon pupitre de classe, j'aime bien pouvoir laisser mes pieds prendre un peu d'air. Alors que je croise les chevilles sous ma chaise, mes chaussures glissent facilement de mes pieds et tombent sur le parquet en faisant un bruit particulier qui me trahit à tout coup. Mais lorsque nous sommes en classe, cela est pratiquement sans conséquence, puisque presque toutes les filles se déchaussent de la sorte !

Mais en cet instant précis, je ne souhaite nullement que mes ballerines s'échappent de mes pieds avant le moment propice et critique voulu pour gagner ce défi. C'est donc en recroquevillant les orteils dans le fond de chaque empeigne que je les retiens avec peine et misère.

Lorsque j'atteins enfin une course qui me semble particulièrement rapide, je laisse les talons s'échapper et pousse rapidement les pieds vers l'avant juste avant d'arriver aux deux tiers de mon élan. Les orteils pointés, le cuir glisse aisément sur mes bas et les deux souliers sont propulsés vers le haut, s'élançant follement dans les airs ! Je les regarde virevolter comme ceux de Linda tantôt. Puis la gravité fait son travail et les ramène tous les deux au sol, bondissant et culbutant plusieurs fois alors qu'ils heurtent la pelouse avec force. Ils s'immobilisent enfin non loin l'un de l'autre, tous deux à l'envers. Je gagne !

Linda me crie Bravo ! puis ralentit sa course jusqu'à ce qu'elle s'immobilise. Elle se jette alors en bas de la planche et marche lentement vers nos chaussures abandonnées. Je suis toujours en mouvement et je la regarde marcher dans la terre battue au pied des balançoires, puis plus loin dans l'herbe verte. Ses chaussettes de coton blanc sont rapidement salies ! À chacun de ses pas, je vois la trace de ces saletés qui s'accentue sur la plante de ses pieds magnifiques. Linda s'arrête enfin près de ses chaussures mais ne les enfile pas. Elle les ramasse, puis va chercher les miennes un peu plus loin. Elle se retourne et revient vers moi.

- Tes bas sont très sales, Linda !
- Oui, j'ai vu. Reste assise, je vais t'apporter tes ballerines. Tu n'auras pas les pieds sales toi aussi.
- Merci, c'est très gentil de ta part.
- Il n'y aura que moi qui aura les semelles noires !

Alors qu'elle arrive en face de moi, ma balançoire s'est immobilisée et j'étend la jambe droite vers l'avant, afin que Linda puisse me mettre mon soulier. A ma grande surprise, elle porte ma chaussure à sa figure, y insère le nez contre la fausse semelle et prend une grande inspiration !

- Mais qu'est-ce que tu fais ?
- Je hume ton parfum de pied.
- Mais tu es folle ?
- Non. J'aime cette odeur suave. Heureux mélange du cuir et de la transpiration du pied...

Je la regarde, incrédule. Linda a les deux yeux fermés alors qu'elle inhale à nouveau, ses narines profondément enfouies à l'intérieur de l'empeigne de ma chaussure ! Elle semble en effet intoxiquée par l'odeur et j'éprouve moi-même de bizarres de sensations à observer ma meilleure amie agir de la sorte. J'ai toujours admiré les longues jambes et les pieds parfaits de Linda. Ses orteils droits et tous alignés sont toujours impeccablement peints d'un rose pâle qui donne envie de les goûter ! J'avoue avoir moi aussi un penchant pour l'odeur du cuir et des pieds moites.

Sa main s'empare tout-à-coup de mon pied ; ses longs doigts caressent sous l'arche prononcé de mon petit peton soyeux... Elle exerce une légère pression, palpant avec douceur mon membre couvert de nylon blanc immaculé. Puis dans un geste décidé mais sans brusquerie, Linda élève mon pied vers sa figure et l'embrasse sur le dessus, juste à la base des orteils. Je suis perplexe, mais cette caresse et ce baiser provoquent une titillation des plus agréable à l'intérieur de mon vagin... Linda a les yeux fixés sur mes orteils, que je remue doucement, ne sachant trop comment réagir à cette situation inattendue.

- Tu as de si beaux pieds, Lise...
- Pas aussi beaux que les tiens.
- Tu aimes mes pieds ?
- Oh oui ! J'en suis parfois un peu jalouse, tu sais.
- Vraiment ?
- Si, je te jure... J'adore la ligne droite que forme le bout de tes jolis orteils...

Linda exerce alors une pression accrue avec sa main, caressant encore plus amoureusement le pied que je lui ai tendu. Doucement elle approche la chaussure et l'enfile, engouffrant mes orteils sous l'empeigne, puis poussant mon talon jusqu'au fond.

- Donne-moi l'autre, à présent.

Je lui tends alors l'autre jambe, le pied bien cambré, les orteils en éventails, poussant à l'extrême le tissus mince de mon bas blanc pour la narguer un peu. Mais au lieu de l'effet escompté, je me surprend à caresser le front de Linda qui a délibérément approché son visage pour le placer contre la plante de mon pied ! Elle gémit faiblement alors que mes orteils glissent gentiment sur la peau de son front, sur son nez et s'arrêtent sur ses lèvres entre-ouvertes... Je vois et je sens alors sa langue chaude et humide toucher chacun de mes petits doigts de pied ! Elle caresse le bout de chaque orteil, touchant l'ongle plutôt long, puis glissant sous le coussinet charnu avant de pousser le nylon dans la fente séparant chacun de mes orteils !

- Linda, arrête... Quelqu'un va nous voir...
- M'en fous...

Elle prononce les mots de façon étouffée, sa bouche étant à moitié remplie avec mes doigts de pied qu'elle goûte un à un avec délice ! Je ne peux que frétiller sur mon siège, les parois de mon vagin étant en train de se lubrifier rapidement, alors que mon excitation devient de plus en plus grandissante.

- Linda, tu m'excites en faisant cela...
- Tes pieds me rendent dingue, Lise. Je voudrais pouvoir leur faire l'amour sans retenue !
- Allons ailleurs... je n'en peux plus...
- Viens chez moi alors. Mes parents sont partis pour le week-end !

Linda m'enfile alors rapidement mon autre chaussure et je saute en bas de la balançoire. Je prends sa main et lui souris. Elle m'offre un ravissant sourire complice alors que nous nous mettons rapidement en route vers sa demeure, tout près. Linda n'a pas voulu remettre ses souliers et marche en pieds de bas dans l'herbe puis sur les trottoirs de ciment.

Rendues chez elle, je ne peux plus me retenir, et dès qu'elle referme la porte derrière elle, je l'attrape par le bras, la retourne vers moi et l'embrasse sur la bouche ! Nos lèvres roses et charnues s'écrasent les unes contre les autres alors que mes sensations vaginales deviennent de plus en plus intolérables... Je sens que la fourche de ma petite culotte est maintenant mouillée à souhait. Linda ouvre la bouche et sa langue s'insère dans la mienne, recherchant ma langue pour s'unir à elle dans un ballet sensuel et intime.

Mes bras sont autour de sa taille et je la tiens contre moi de sorte que je peux ressentir sa poitrine qui s'écrase avec force contre mes seins. La pointe de ceux-ci est droite et rigide, comme des gommes à effacer au bout des crayons mine... ! Les sensations que leur frottement provoque lorsqu'ils touchent les mamelons de Linda à travers nos vêtements deviennent insoutenables ! Nous nous embrassons comme deux amoureux qui ont perdu la tête et je m'empresse de retirer une chaussure pour caresser le mollet de Linda avec mon pied soyeux.

Elle réagit alors en poussant un gémissement qui trahit son plaisir à ressentir la caresse de mon petit peton. Avec difficulté, je me laisse diriger par elle vers le divan du salon, marchant à reculons avec une seule chaussure aux pieds. Une fois près du confortable trois places, Linda me force à m'y asseoir, tout en me retenant pour ne pas que je perde l'équilibre. Une fois bien calée dans les coussins, Linda glisse vers mes jambes, s'agenouille, puis elle s'empresse de retirer ma deuxième chaussure. Elle se couche alors au sol sur le dos, caressant mon pied avec encore plus de ferveur que lorsque j'étais sur la balançoire.

- Donnes-moi ton pied, Linda !

Je veux moi aussi lui rendre ses douces caresses. Je vois alors ce membre délicatement sculpté de chair et d'os s'approcher de mes mains. Le bas de coton qui le recouvre est totalement sale, imprégné de terre et de gazon. La semelle de sa chaussette est bien dessinée avec ce noir verdâtre qui délimite les petits coussinets charnus de ses orteils et tous les autres points d'appui de sa plante de pied. La saleté n'est pas répugnante et j'approche son pied de ma figure pour à mon tour pouvoir inhaler son parfum intime. Je pousse mon petit nez délicat dans le coton sali et tente de respirer son odeur. Mais Linda ayant marché pieds nus dans l'herbe, ce parfum tant souhaité n'est plus !

Je décide alors de lui retirer ce bas trop sale, pour pouvoir goûter ses orteils nus. De mes doigts, je tire sur le col, roulant le bas sur lui-même, jusqu'à ce qu'il enveloppe sa cheville, roule sur son talon puis glisse facilement sous la pointe de son pied. D'un seul coup je vois émerger ce membre délicat, cambré chaud et moite ... ! Linda m'offre alors son autre pied, retirant le premier pour le glisser subrepticement entre mes cuisses !

Pendant que je lui retire son autre longue chaussette, je sens ses orteils qui bougent sur le devant de ma petite culotte ! Elle doit ressentir la moiteur du vêtement avec le bout de son pied car elle gémit alors encore plus fort. Je dois goûter sa peau dénudée et je tire doucement son doux peton vers mes lèvres entre-ouvertes. Ma langue glisse sous chacun de ses jolis orteils puis j'insère le plus gros dans ma bouche, suçant ce doigt pied comme si c'était un tout petit pénis !

Linda fond sous mon ardeur ! Son pied s'insère sous ma culotte et de ses orteils adroits, elle écarte mes lèvres mouillées et glissantes... Du bout du gros orteil, elle commence alors à masser mon clitoris et m'oblige à lui signifier mon approbation en lâchant un gémissement aigu et prolongé. Mon autre pied glisse alors entre les cuisses de Linda, afin de pouvoir lui rendre pareilles sensations. Le nylon doux et soyeux a vite fait de trouver son Mont de Vénus. Appliquant une pression retenue, je la masturbe avec autant de doigté que les joies qu'elle me procure avec son propre pied.

Nous sommes toutes les deux perdues dans une marée de vibrations et nous nous donnons du plaisir avec abandon. Jamais je n'aurais cru possible d'éprouver autant d'excitation avec les pieds de ma meilleure amie ! J'écarte mes jambes pour permettre à ses petits doigts de pied d'entrer dans ma vulve ! Je suis tellement lubrifiée que je serais en mesure de laisser le bout de son pied entrer dans mon vagin ! Mais je n'aurai pas le temps de me rendre jusque là, puisque déjà le point de non retour se fait ressentir ! La vague déferle alors que Linda frétille ses orteils à l'entrée de ma vulve détrempée. Les frissons se succèdent alors que je me mets à trembler de la tête aux pieds. Un long cri s'échappe de mes poumons alors que je garde le pied de mon amie dans ma bouche !

Mon orgasme est intense comme jamais auparavant. Je sens Linda qui tremble sous mon pied inquisiteur, alors qu'elle aussi me signifie son infini bonheur dans une série de gémissements et de spasmes successifs!

Il nous faut près d'une minute pour sortir de cette torpeur, après un orgasme aussi extraordinaire. Je me suis même demandé si je n'avais pas perdu connaissance pour un instant, tellement l'excitation était à son comble.

Linda demeure par terre, à me caresser les jambes, alors que j'ai porté le pied que je tenais dans mes mains au niveau de mes seins. Linda tente de pincer la pointe raidie de mes mamelons entre son gros orteil et le suivant, ce qui me donne des frissons dans le dos. Je la regarde et lui souris :

- Je t'aime Linda !
- Je t'aime aussi, Lise...

Ainsi est né un amour encore plus profond pour ma meilleure amie. Depuis ce jour, nous avons toutes les deux une complicité de tous les niveaux. Par contre, nous avons développé un culte consistant à nous déchausser secrètement lorsqu'en public, pour ensuite nous caresser mutuellement sous la table, sans que personne n'en sache rien ! Nous éprouvons un plaisir fou à renouveler ces expériences aussi souvent que possible. Mais notre plus grand bonheur est de nous retrouver dans l'intimité pour renouveler nos expériences et nous faire mutuellement l'amour avec nos pieds !

Christine et ses pieds... presque nus

Tranche de vie, par Jean-Jacques

Nos chemins se sont séparés depuis bien des années mais les petits pieds et très jolies jambes
de Christine m'ont laissé des souvenirs précis totalement indélébiles.

Elle avait des pieds minces absolument impeccables, la peau claire et mate mais se colorant très vite au soleil, des chevilles très gracieuses et des jambes bien galbées et adorables.
Nous étions très jeunes et très, très amoureux. Elle issue de la bonne bourgeoisie, moi d'un milieu artistique. J'aimais par dessus tout qu'elle soit en jupe ou en robe, raisonnablement courte, et qu'elle laisse bien voir ses jambes. Et j'adorais qu'elle soit jambes nues : je le lui avais carrément avoué, lui demandant d'ailleurs d'enlever ses collants quand elle avait la mauvaise idée d'en mettre. Tant et si bien que sa mère s'était aperçue que quand elle partait de la maison avec des bas, elle rentrait en général sans … Y compris en novembre et même plus tard, mais la maman m'aimait bien et était très compréhensive.

C'était dans la voiture que je lui demandais de retirer ses collants et nos séances amoureuses commençaient toujours par de longues caresses sur ses jambes. Nous étions tous deux très, très jeunes mais j'étais déjà fétichiste ! J'aimais sentir la finitude de sa jupe, sentir ma main passer du tissu sur sa peau, descendre autour de ses genoux, descendre très lentement le long de ses jambes, très lentement, au dessus, en dessous le long des mollets,
arriver doucement aux chevilles, les entourer à tour de rôle de ma main. Evidemment, en arrivant si bas et même si elle repliait ses jambes, j'étais bien obligé de retirer ma bouche de la sienne, mais elle fermait les yeux (du moins je le crois) et goûtait pleinement mes caresses. Une fois aux chevilles, mes doigts atteignaient ses pieds et le contour de ses chaussures. Elle portait souvent des escarpins à talons moyens (5-7 cm), qui laissaient donc le dessus des pieds bien dégagé.
Alors, ma main en faisait le tour, revenait aux chevilles, brièvement aux mollets, redescendait vers les pieds. Mes doigts s'infiltraient doucement entre le cuir de l'escarpin et la peau, facilement du côté de la cambrure, plus difficilement entre l'empeigne et ses doigts de pieds. En repoussant l'arrière de son escarpin, je dégageais son talon et pouvais lui caresser le dessous du pied, puis je lui réajustais sa chaussure tout autour de son pied nu.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que cela me mettait dans des états… des états… !! C'était la première fois, d'ailleurs, que je mettais mon fétichisme en pratique. Mais elle aussi adorait que je lui caresse les pieds et en redemandait. Quand ma main remontait trop tôt ver ses cuisses, elle me soufflait dans l'oreille " encore ! reste sur mes pieds ".
Et ma main redescendait vers ses pieds nus dans ses escarpins : je lui en déboîtais légèrement un, arrivais à lui caresser les orteils, le dessous, le talon, la cheville, le dessus du pied, je lui remettais son escarpin, je laissais mes doigts passer du cuir sur la peau et vice-versa, je les laissais courir le long de la frontière entre le cuir et la peau, je ne me lassais jamais de ces caresses raffinées qu'elle semblait apprécier tout autant que moi.

Je pense que la voiture était propice à ce genre de caresses et je pense que si nous avions été tranquilles dans une chambre, je n'aurais pas eu la même envie de m'attarder aussi longtemps sur ses jambes et ses pieds. Nous aurions probablement été plus expéditifs et, du même coup, nous nous serions privés d'une extraordinaire sensualité et d'une grande poésie.
Christine adorait ces séances en voiture et il n'était pas question que je la reconduise chez elle avant de lui avoir longuement, très longuement caressé ses jambes et ses pieds dans leurs escarpins. Mais quand elle avait des bas, elle avait bien vu que mon désir n'était pas le même.

Un jour, en été, je venais la chercher chez elle mais elle n'était pas prête et, du premier étage,
mère et fille me demandent de patienter au salon, en bas, d'où j'entendais de grands éclats de rire à l'étage. Finalement, on m'invite à monter dans la chambre de mon élue. Mère et fille étaient devant un dilemme : elle n'étaient pas d'accord sur les escarpins que Christine allait mettre à ses pieds (nus, évidemment !) et c'était finalement moi qui devais les départager. J'avais le choix entre des escarpins beiges à talons moyens, et d'autres en bleu très foncé, à talons un cheveu plus hauts et plus fins. Et, pour m'aider à choisir, Christine a déambulé dans sa chambre avec une paire aux pieds, puis l'autre. J'étais rouge pivoine, au plus grand plaisir de la mère qui m'observait, épiait mes réactions, et de Christine qui savait à quoi s'en tenir sur mes attirances et semblait très heureuse de me faire cette démonstration de pieds et jambes. J'avais les yeux rivés à ses pieds et à ses chevilles, encore plus intensément quand elle changeait d'escarpins devant moi. Elle avait d'abord mis les bleus, ensuite avait enfilé ses pieds nus dans les beiges et, après ma décision sans appel en faveur des bleus, s'était à nouveau déchaussée pour réenfiler les escarpins que j'avais choisis. Les deux femmes avaient un sourire jusqu'aux oreilles…

Nous sommes donc sortis, Christine avec ses jambes nues et ses pieds nus dans ses escarpins bleus. Et elle m'a tout de suite dit qu'elle était sûre de mon choix et qu'elle savait que j'allais choisir le bleu foncé. En même temps, elle avait le regard brillant qui descendait vers le relief de mon pantalon que je ne pouvais pas cacher.

Une autre fois, nous étions en ville et elle était pieds nus dans de jolies sandales blanches à petits talons de 3-4 cm. Elle s'est subitement arrêtée devant une boutique de chaussures : des ballerines d'un jaune foncé avaient accroché son regard et nous sommes entrés dans le magasin. Quel plaisir, mais quel plaisir de la voir enlever ses sandales et glisser ses pieds nus dans ces ballerines, j'aurais voulu être à la place de la vendeuse qui ajustait le fin cordon de serrage.
J'ai admiré Christine marcher devant moi, regarder ses pieds dans le miroir, se retourner vers moi avec un grand sourire. Elle savait parfaitement que j'appréciais le moment et cela l'excitait tout autant.

Une autre fois, invités à une soirée chez des amis, elle avait mis une petite robe noire courte, la petite robe sexy et flatteuse par excellence. Aux pieds, des escarpins vernis noirs et… des collants. Nous étions au début de l'automne, je savais parfaitement que ses jambes et ses pieds avaient gardé une bonne partie de leurs couleurs d'été et lui ai demandé pourquoi elle avait mis des bas. Elle me répondit en rougissant que, tout en noir, cela lui semblait plus joli mais je l'ai prise dans mes bras et lui ai glissé dans l'oreille qu'elle se trompait, qu'elle avait encore bien assez de couleurs pour être jambes nues et qu'elle serait au contraire encore beaucoup plus jolie et sexy. Et, dans la voiture, elle a aussitôt retiré ses collants et enfilé ses pieds nus dans ses escarpins vernis noirs. Je lui ai demandé de bien regarder ses pieds et l'ai rassurée en l'embrassant. En arrivant chez les amis en question, il fallait monter à l'étage et, bien entendu, j'ai fait passer Christine devant moi, les yeux rivés à ses pieds et à ses escarpins vernis. Le contraste entre sa peau et le cuir noir brillant comme un miroir était somptueux et je n'ai pas pu m'empêcher de l'arrêter quelques secondes dans l'escalier en lui enserrant les chevilles de mes mains. Puis, la porte d'en haut s'est ouverte et… fini, le bref moment de haute sensualité.
Durant toute la soirée, j'ai admiré ses jambes et ses pieds et elle n'était pas seule, loin de là, à ne pas porter de bas. Y compris avec robe noire et chaussures noires, ce que je lui ai fait remarquer. Du coup, elle s'est mise à observer les jambes et pieds des autres femmes.

A une autre occasion, nous avions décidé d'aller nous promener en forêt. Elle était en jeans et avait mis de gros mocassins de marche autour de ses pieds nus, mais en avait emporté d'autres, plus usagés, à grosse semelle et plus épais encore.
Voyant l'état de la terre, elle a décidé de mettre la seconde paire et m'a donné le plaisir de la regarder enlever ses pieds nus d'une paire pour les enfiler dans l'autre paire. Des chaussures très couvrantes, enveloppant totalement les pieds, mais néanmoins confortables à mettre sans bas ni chaussettes. Nous étions tous les deux contre les baskets, en dehors de telle ou telle activité sportive déterminée. Elle aimait faire du cheval, montait très bien, portait admirablement des bottes d'équitation mais, là, je ne suis jamais parvenu à la persuader de garder ses pieds nus au fond de ses bottes. Un jour, j'y ai fait allusion mais elle m'a lancé un regard moqueur en me demandant de ne pas dire de bêtises et nous en sommes restés là.
Autrement dit, elle admettait mes goûts et préférences mais n'avait pas encore deviné que j'étais un véritable fétichiste.

En tous cas, nous sommes restés ensemble pendant plus de deux ans et c'est moi qui ai eu la mauvaise idée de la quitter pour une autre. Il faut dire que j'étais parti terminer mes études à l'étranger. Loin des yeux, loin du cœur… Grosse erreur de jeunesse en tous cas : je n'ai plus jamais retrouvé de femme aussi sensible à mon fétichisme des pieds nus dans leurs chaussures. Si j'était resté avec elle, je pense que je l'aurais entraînée bien plus loin et, en plus, elle me pardonnait tous mes défauts !! D'ailleurs, bien plus tard, elle m'a dit qu'elle m'avait détesté pendant quelques années mais que, finalement, elle m'avait pardonné et m'aimait toujours, en filigrane. Son mari, que je connaissais d'ailleurs, n'était pas très sensuel et imaginatif et devait se moquer totalement qu'elle soit ou non pieds nus dans de jolies chaussures.

Ravissants pieds nus et jolies ballerines

Histoire vraie, par Jean-Jacques

C'était un samedi de septembre, vers la fin de l'été 2001. Il faisait un temps superbe, un soleil éblouissant, la plupart des femmes étaient jambes nues ou au minimum, si elles portaient jeans ou pantalons, pieds nus dans leurs sandales ou chaussures.

J'avais fait quelques achats et m'étais attablé à une terrasse devant un rafraîchissement, et que vois-je soudain à une table proche de la mienne, de l'autre côté de l'allée de passage ? Une jolie femme d'une trentaine d'années, en jeans (hélas !) mais remontant haut sur ses chevilles et, c'est là que mon regard accrocha, pieds nus dans de jolies ballerines d'un bleu très foncé, soulignées d'une ligne dorée au dessus d'un petit talon d'un centimètre environ. L'empeigne de ses ballerines lui couvrait les orteils mais laissait le dessus des pieds merveilleusement dénudé. Elle était seule mais fut vite rejointe par son mari et son petit garçon. Tant pis pour le très hypothétique contact mais, tout en parlant avec son mari et son fils, cette jeune femme m'offrit un véritable spectacle de pieds nus dans leurs chaussures d'un grand raffinement. J'avais la vue parfaitement dégagée jusqu'au dessous de sa table et ne pouvais manquer une miette de ses mouvements, à une distance de cinq mètres environ… presqu'à portée de main.

D'abord, ses pieds étaient ravissants et bien soignés, pas trop bronzés mais légèrement halés et la vue de sa peau lisse et mate entourée de ce cuir bleu sombre était d'une beauté rare. Je suis toujours captivé par l'aspect du cuir sur la peau, c'est souvent extrêmement sensuel !!
Mais ce n'est pas tout. Sans devoir faire le moindre effort, la disposition des tables et des chaises m'étant par hasard très favorable, j'avais une vue directe sur ses petons et, comme tant de femmes, elle s'est croisé les jambes, celle du dessus laissant pendre le pied qui a commencé à jouer avec sa ballerine : la sortir du pied, la tenir suspendue à ses doigts de pied, et même à certains moments rien qu'au pouce, balancer doucement sa chaussure, incliner le pied vers le haut pour qu'elle s'emboîte de nouveau autour du talon. Moi-même pieds nus dans des sandales très aérées, je regardais de tous mes yeux en veillant à cacher mon jeu le mieux possible. J'étais un voyeur heureux !
Cela a duré longtemps, elle a décroisé les jambes un moment et remis son pied droit à terre, dans sa chaussure, puis a croisé ses jambes dans l'autre sens et a recommencé le même jeu avec son pied gauche : tenir sa chaussure suspendue, presque verticale, à ses orteils. Plusieurs fois, j'ai cru que la ballerine allait tomber à terre… mais non, elle la tenait du bout du pouce et, trois secondes plus tard, avait à nouveau le pied bien emboîté dans son joli écrin de cuir brillant avant de recommencer le jeu.

Et le mari ne se doutait de rien, ne voyait rien et, Dieu sait, eut peut-être été totalement indifférent à ce spectacle si ravissant et raffiné. Au fond, il y a relativement peu d'hommes qui prêtent attention aux pieds nus dans leurs chaussures et aux jeux des pieds avec leurs chaussures. Je dois néanmoins préciser que ce " dangling " n'est captivant que pieds nus, le port de bas ou de chaussettes étant totalement dénué de charme dans ce genre de situation. Pour moi, pieds nus dans de jolies chaussures est mon fétichisme n° 1 depuis mon enfance et j'aime également, dans toute la mesure du possible (dès que je suis hors vie professionnelle), moi-même être pieds nus dans divers mocassins et sandales. Je dirai même que c'est un besoin absolu car c'est seulement ainsi que je me sens vraiment bien, et ceci indépendamment du temps qu'il fait. Encore faut-il bien choisir les chaussures et sandales : c'est plus difficile pour les hommes que pour les femmes, il y a beaucoup moins de choix , et il faut aussi harmoniser les vêtements en conséquence. Bref, il faut " savoir " être pieds nus en sandales ou mocassins mais je trouve que le contact direct du cuir autour du pied est infiniment plus " vivant ", agréable, confortable et érotique que les chaussettes qui empêchent les pieds de respirer. Et c'est pieds nus dans des mocassins ou des sandales qu'on a tendance au " dangling ", cela vient tout seul.
Et en évitant au maximum les chaussettes, les pieds et chevilles prennent des couleurs normales et ne sont plus blafards comme chez tant d'hommes.

Et donc, en regardant ce charmant " pas de deux d'un pied et de sa ballerine ", j'étais peut-être beaucoup plus conscient que cette jeune femme de la sensation si agréable qu'elle devait ressentir…
Non, je n'avais pas spécialement envie de lui lécher les pieds, tout au plus de les caresser, nus dans leurs si jolies chaussures, de laisser courir mes doigts à la frontière du cuir foncé et de la peau.
Les pieds totalement nus peuvent être bien jolis mais des chaussures ou des sandales choisies avec goût les pimentent, les soulignent et leur donnent une poésie et une sensualité qu'ils n'ont pas tout seuls. Je ne me sentais pas du tout frustré, bien au contraire je profitais du moment et goûtais intensément le charmant spectacle. Quel bonheur en soi que ce moment-là !!

L'assistante

Histoire vraie, par Patrick

Il y a quelques années, à la suite d'une réorganisation dans mon entreprise, j'ai pris un poste où il était prévu d'avoir une assistante (on ne dit pas secrétaire!). J'ai essayé de recruter parmi mes anciennes copines, disons pas trop moches et sympa. Mais elles hésitaient, on leur proposait d'autres places. Et puis le chef m'a dit: non, cette place, je l'ai promise à Mme X..., de la comptabilité, car elle veut quitter son service, alors le lui ai dit oui.
La compta! la-haut je ne voyais que des grosses mémères, qui louchaient, qui boitaient !
J'ai donc appelé Mme X au plus vite, pour me fixer.
Quand je l'ai vue, soulagement! une femme svelte, élégante, pas très jeune, sûr, mais moi non plus et ce n'était pas pour me déplaire. Cheveux longs frisottant, cou fin et délicat....
Je n'en demandais pas tant !
Au fin des mois, j'ai fait connaissance avec ma collaboratrice, qui avait un caractère très particulier: très bavarde au point qu'on avait du mal à s'en débarrasser, elle n'écoutait pas quand on lui parlait, mais suivait son idée, ou au contraire passait d'un sujet à l'autre sans arriver à en finir un seul, ne répondait pas quand une question l'embarrassait. Dans le travail, désordonnée au possible! Et toujours en train de demander "si c'était bien ce qu'elle faisait, si elle ne se trompait pas"
Elle était passée d'un service de femmes, dirigé par une femme très hiérarchique, style caserne, à un emploi où elle était seule employée d'un chef plutôt cool, avec pleine liberté de faire ce qu'elle voulait. Quand elle rencontrait ses anciennes collègues à un pot, c'était "les filles, je ne regrette pas d'avoir changé de chef !".
Par contre, elle était complice avec moi, obéissait aveuglément, se comportait parfois comme un chien fidèle avec son maître.
Aussi, au fil du temps, j'ai éprouvé une certaine attirance pour elle. Alors, ce fut la bise pour commencer, puis les invitations au resto. Mais c'était net: elle refusait toute tentative "manuelle" de ma part. En fait, elle aimait bien fréquenter des hommes, manger avec eux, leur faire la bise, mais n'était pas intéressée par AUTRE CHOSE...
Malgré tout, au fil des années, la complicité augmentait entre nous; il m'était arrivé de faire de longs déplacements en province, par voiture ou par avion, uniquement avec elle. Puis mon service s'est agrandi, on m'a rajouté une, puis 3 autres femmes, dans des emplois différents: et bien la voilà qui se montrait jalouse, parlait comme si j'étais "à elle", rejetait la nouvelle organisation. Heureusement l'ambiance était bon enfant. "comme vous êtes marrants, me disait une jeune fille, qui faisait partie du nouvel arrivage, on dirait un vieux couple: vous vous disputez, vous vous réconciliez !..."
Au fil du temps aussi, elle m'autorisait certaines familiarités: autant de bises que je voulais, la main autour du cou, sur les épaules, et même vers la fin, quand je n'étais plus son chef, main dans la main en marchant dans la rue, ou bras dessus bras dessous, mais je n'ai jamais pu l'embrasser sur la bouche ou toucher ses seins. Et là j'en arrive enfin au fin du fin:
Une fois, en marchant dans Paris, j'avais eu des ampoules très douloureuses: j'étais entré dans une pharmacie et j'avais acheté un pansement "révolutionnaire" (en fin de compte c'était de la daube, mais..." que j'avais ensuite conservé dans ma serviette.
Un jour, ma collègue se plaignit s'avoir une ampoule au talon. Je lui dis que j'avais un pansement spécial pour cela, mais pas facile à poser: il fallait donc que je m'en occupe personnellement: il fallait d'abord chauffer le pansement en le malaxant dans les mains, puis le poser sur l'ampoule en continuant à le frotter de façon que l'échauffement le fasse bien adhérer à la peau...ma collègue s'est donc déchaussée, m'a confié son pied nu que j'ai maintenu fermement d'une main, tandis que de l'autre je lui frottais son talon, en faisant bien durer le plaisir ! elle faisait comme si c'était parfaitement naturel....
Plus tard, il m'est arrivé aussi avec elle l'aventure suivante: à la suite d'une sortie, je l'ai emmenée dans un coin de campagne avec ma voiture: elle me racontait qu'elle avait visité Rome avec une copine, et qu'elle s'en était sortie avec plusieurs ampoules aux pied. Et moi je lui ai dit: "des ampoules ? tiens tiens, tu sais que je suis spécialiste, tu te souviens, il faut que tu me les montres...". Je me suis arrêté dans un endroit tranquille, je me suis penché vers ses pieds, j'ai saisi ses chevilles en disant "fais moi voir donc ces ampoules". "Ce sont des ampoules italiennes, a-t-elle répondu en riant".
Lentement, j'ai défait la minuscule sangle qui maintenait ses sandales au pied, j'ai enlevé une chaussure, puis l'autre....je n'avais bien sûr aucun pansement sur moi, les ampoules n'étaient plus qu'un prétexte...j'ai caressé les orteils, puis la plante des pieds. J'ai porté ces pied l'un après l'autre, à ma bouche, et je les ai embrassés avec passion, dessus, dessous....
Et puis je suis monté lentement le long des mollets, mes caresses précédant mes lèvres. Mais, arrivé au genou, blocage !
Interdit d'aller plus loin !

Voilà. Ces circonstances se sont renouvelées 3 fois, bien sûr ces événement se passaient en été....
Je me suis toujours étonné des relations étranges que j'avais avec cette femme. Tendresse pudique? forte amitié ?
Complicité ? il m'est arrivé il y a un mois de manger avec elle, lui racontant mes déboires amoureux (future anecdote) et des histoires de maris très jaloux ! elle a ri, en disant que si son mari avait une maîtresse elle s'en ficherait complètement, ils étaient adultes, et que si elle avait un amant son mari s'en ficherait complètement aussi (d'ailleurs je l'avais rencontré par hasard dans la rue quelques jours plus tôt, il m'avait demandé quand est-ce que j'emmenerais sa femme au resto, depuis le temps que je le lui avais promis!). Mais tout ceci, hélas, ne voulait pas dire qu'elle voulait se prendre un amant, et aurait-ce été moi? Ceci ne nous a pas empêché de nous promener tout l'après midi, enlacés, ou serrés l'un contre l'autre dans le
métro...
un vrai flirt d'ado !

Lou baisée devant son mari…

Histoire vraie, par Maxime

Cela s'est passé dans notre salon il y a environ deux mois. Lou venait de m'apprendre quelques semaines auparavant qu'elle m'avait trompée à son travail et sur son bureau par un des ses collègues que je connaissais. Les remords étaient tels, qu'elle se sentit obligée de me l'avouer 3 jours après.

Je ne savais que faire pour me venger, mais la vengeance était alors mon unique but.

C'est ainsi que j'ai décidé de la pardonner sous une condition bien particulière : je lui ai donc proposé de se faire baiser devant moi par notre voisin célibataire, pendant que moi, je joue le rôle de voyeur, Elle réfléchit et accepta cette proposition le samedi suivant.

Nous avons donc invité notre voisin à 20h00 pour un apéritif un peu particulier. Lou avait mis de la lingerie hyper sexy et s'était outrageusement maquillée : très beau rouge à lèvre, boucles d'oreille pendantes et de nombreuses bagues ornaient chacune de ses mains. Elle portait un simple jeau et avait mis des mules sexy laissant apparaître ses petits pieds (elle adore qu'on lui lèche les orteils). Elle était prête et le champagne était au frais.

Notre voisin arriva pile à 20h00. Nous l'invitons de temps en temps à dîner, et nous présumions alors qu'il était un peu fétichiste des pieds féminins, car il avait déjà eu l'occasion de complimenter ma femme sur ses beaux pieds !

Nous nous sommes installés dans nos canapés et avons dégustés le champagne. Au bout d'une vingtaine de minutes de conversation, Lou qui ne tient pas l'alcool, lui dit qu'il était là pour un gage surprise.

Lou demanda alors à Thierry s'il acceptait de lui faire l'amour devant moi en suivant mes ordres pendant que je les regarde. Notre voisin se sentit gêné mais répondit que si cela nous procurait du plaisir à tous les deux, il acceptait.

Je leur demandais alors de se déshabiller mutuellement. Ils étaient alors rapidement tous les deux nus debout à côté des canapés. De mon côté, je me suis alors mis à poil également et assis sur le canapé face à eux.

Lou qui ne semblait pas très à l'aise, avait gardé ses mules aux pieds. J'ai vu que Thierry appréciait le corps de Lou car il bandait déjà : ma femme ne l'avait pourtant pas encore touché. Voir son épouse nue à côté d'un autre homme en train de bander était pour moi une situation très étrange, mais tellement excitante !

J'ai alors dit à Lou de s'allonger sur le dos sur le canapé. Je lui ai demandé si elle acceptait que Thierry lui lèche et lui caresse sa petite chatte épilée. Elle m'a répondu que si cela me faisait plaisir alors, oui !

Thierry se rapprocha de Lou qui était sur le canapé. Elle a alors les jambes écartées et sa chatte épilée étaient bien ouverte. Lou s'était prise au jeu ! J'ai demandé à Thierry de la lécher et de lui mettre un doigt. Thierry lui caressa alors l'intérieur des cuisses. Lou eut un soulagement de plaisir au premier coup de langue. Thierry s'appliquait à lui lécher ses lèvres, son clitoris et lui enfonçais de temps en temps sa langue dans le vagin. Thierry, de ses doigts délicats, écartait les lèvres de ma femme pour y fourrer sa langue. Lou était trempée de salive et son sexe rasé brillait de plaisir.

De mon côté, j'étais assis dans l'autre canapé. Je bandais comme un fou et je commençais alors à me branler.

Durant le léchage très passionné de notre voisin, Lou avait relevé ses jambes. Thierry la tenait alors par les chevilles tout en la léchant : il était quasiment à genoux par terre. Il la léchait assez sauvagement et lui enfonçait son majeur, son index puis les deux en même temps. J'ai demandé à Thierry d'ôter les mules de Lou pour lui lécher les pieds. Il lui caressa et massa ses petons, Lou semblait être aux anges. La langue de Thierry parcourait chacun des orteils de ma femme : elle a de superbes pieds. Thierry avait alors une énorme bite et bandait dur. Lou s'impatientait sur le canapé. Elle reprit une coupe de champagne, l'avala d'un trait et demanda à notre voisin de se rapprocher d'elle pour lui mettre sa queue dans sa bouche. Moi, je contemplais cette scène hallucinante : ma femme en train de sucer un autre homme que moi ! Mais c'est sans doute ce qu'elle a fait avec son collègue de bureau.

Lou le branlait et le suçait pendant qu'il continuait à caresser sa chatte hyper trempée. J'ai alors demandé à Lou si elle voulait bien se faire pénétrer par notre voisin.

Elle ressortit ce gros sexe de sa bouche pour me répondre qu'elle était d'accord mais avec un préservatif. Lou était toute rouge de plaisir. Je tendis alors un préservatif à Thierry qu'il s'empressa d'enfiler sur sa queue. Lou était toujours couchée sur le dos au bord du canapé quant Thierry s'enfonça en elle.

Au premier coup de reins de notre voisin, ma femme lui saisit les mains comme pour savourer cet intense plaisir.

J'avais l'impression que Lou allait déjà jouir, tellement elle semblait prendre son pied à se faire baiser devant moi. Thierry tout en la baisant, lui caressait les jambes et les pieds. Il lui suçait également les orteils un à un. Ma femme est vraiment sensuelle de ce côté là.

Au bout de 3-4 minutes, j'ai alors demandé à Lou de venir chevaucher notre invité. Thierry m'a alors dit en souriant que cela le reposerait. Il s'est donc mis sur le canapé sur le dos. Il débandait un tout petit peu. Lou a branlé quelques secondes sa bite dans la capote et est venu s'empaler sur lui. Je savais que ma femme n'allait pas tarder à jouir.

Lou se trémoussait sur notre voisin qui lui caressait en même temps les seins. Lou lui demanda alors de lui prendre à pleine mains ses fesses qui portaient encore des marques de bronzage. Thierry s'exécuta. Il lui caressa également tout doucement son anus. A ce moment, Lou n'en pouvait plus et eut un orgasme très violent. Elle hurla que c'était bonnnnn !!! Sa propre femme jouir devant soi dans les bras d'un mec est assez bizarre comme vision, mais je me masturbais depuis le début.

Lou m'a ensuite demandé si notre hôte pouvait la prendre en levrette (elle adore être prise par derrière). Je lui répondit : c'est toi qui te sens ! Elle s'est alors mise à 4 pattes au bord du canapé. Elle s'est cambrée et Thierry est venu derrière elle. Il était debout et plutôt que de la pénétrer de suite, il lui a à nouveau lécher la chatte. Thierry a dit à Lou qu'il adorait sa belle chatte épilée et qu'elle sentait bon. De sa bite dure, il s'est alors enfoncé profondément dans le vagin de ma femme. Il était debout au bord du canapé ; ses mains caressant tour à tour ses fesses, ses cuisses allant jusqu'à lui masser les pieds. Après quelques coups de reins, Lou se laissa aller à un second orgasme. Je crois que Thierry lui aussi, n'en pouvait plus.

Lou était encore à quatre pattes en train de savourer ce deuxième orgasme et Thierry la baisait toujours par derrière avec de petits va et vient.

Je lui alors dit que si elle souhaitait, nous pouvions jouir sur ses pieds. Un peu fatiguée de plaisir, elle a alors dit oui.

Thierry a enlevé sa queue du sexe trempée de ma femme, et a ôté sa capote.

Lou, à quatre pattes, nous a alors présenté à chacun un superbe pied bien cambré. Sa voûte plantaire était parfaite pour accueillir notre semence. Elle le savait, car de temps en temps, elle apprécie que je lui arrose les pieds de sperme à sa demande.

Thierry, sa bite dans la main droite et le pied de ma femme dans sa main gauche, je fis alors de même. Nous nous branlions tous les deux, nos sexes frôlant et caressant les petons de Lou.

D'un coup, Thierry se lâcha sur ma femme : la première giclée de sperme était forte et atterrit sur le mollet de Lou ; il continua à se branler et éjacula ensuite sur son pied droit. En 5 secondes, Lou eut son pied couvert de sperme : il coulait un peu entre ses orteils. A cette vue tout à fait extraordinaire pour moi mais ô combien excitante, je me lâchais à mon tour en me masturbant sur le pied gauche de ma femme, mon sperme recouvrant alors sa voûte plantaire si douce.

Lou avait alors du sperme partout sur les pieds, coulant sur ses orteils et ses chevilles.

Je lui rapporta alors une serviette de la salle de bains pour l'essuyer.

Nous nous sommes rhabillés tous les 3, avons bu le restant de champagne ; notre voisin nous a quitté vers 22h00.

C'est à ce jour notre seule expérience à trois et nous en gardons un souvenir inouï !

 

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